Ils sont au nombre de quatre. L’appellation courante veut que l’on dise un trois mât mais c’est le mât de beaupré qui n’est pas compté.
Le mât le plus en avant est le beaupré, il est vital car il permet la fixation des étais, si ce mât est abattu, tout les mâts tombent.
Le mât qui se trouve juste derrière le beaupré est la misaine, sans se mât le navire ne peux plus avancer car il permet l’élévation du navire à la lame de part sa situation à l’avant.
Le mât qui est à la suite est le grand mât, le plus célèbre car il est le mât le plus haut du navire, il tient les plus grandes voiles et contribue largement à la bonne progression du navire, si on l’abat, le navire; par le fait que ce mât est couché sur le pont et trempe ses voiles dans l’eau, est immobilisé et doit être coupé si le navire veux repartir.
Enfin, le dernier mât, celui de l’arrière est nommé l’artimon, il ne porte pas de voile à sa grand’ vergue mais à bien celles au dessus. Néanmoins il comporte bien une voile entre le pont et la grand’ vergue, celle-ci au 17ème siècle est latine puis elle est rétrécie pour ne plus que s’étaler sur l’arrière du mât.
Voici une brève description des mâts présents sur un trois mâts de guerre. Je complèterais mes explications par des illustrations dans les post suivants.
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